L’histoire du peintre
Peintre du Vexin
Yves Lebesgue est né en 1945 à Vierzon, issu d’une fratrie de 5 enfants, marié et père de 3 enfants, il est installé dans le Vexin à Commeny depuis près de 40 ans.
Microbiologiste reconnu, insatiable chercheur, il devient entrepreneur très tôt dans sa carrière et mène recherche et brevets tambour battant.
Passionné d’arts, chinant de beaux objets ou de belles toiles, il s’intéresse à la technique et aux courants artistiques de la peinture.
Peintre amoureux de tous les arts et de toutes les méthodes, Yves Lebesgue, comme il aime à le dire « cultive le Beau », et crée son propre atelier dans sa maison du Vexin.
Il affirme son style et sa manière, il invente une peinture de souvenirs où la musique de ses toiles dévoile l’esprit, exprime l’émotion.
Sa peinture est mentale, profonde.
Homme de partage et de contact, il se retrouve régulièrement dans son atelier avec de nombreux artistes amateurs, peintres, sculpteurs ou modeleurs pour partager leur savoir-faire, leur sensibilité, le savoir être de leur passion.
Libre de toute technique, Yves Lebesgue puise au fond de son âme, les souvenirs des grands espaces du Canada et l’intimité de la campagne Vexinoise et Dieppoise. il partage l’instant de chaque événement, ne manquant pas d’exprimer le bonheur de sa vie, « l’Infini », « l’Au-delà », ou la douleur et tristesse de la perte d’un être proche.
Chaque souvenir est posé avec une réelle maîtrise, avec des retenues, des silences…Le Beau est porteur d’espérance et Yves Lebesgue a une vision « panthéique » de la nature
Et si la maladie s’est invitée à son chevalet sans laisser de possibilité de guérison, il a choisi de prendre le contrepied de cette fatalité et de participer à la recherche sur cette pathologie rare, la Fibrose Pulmonaire Idiopathique.
Par le fruit de son art, il offre les montants issus de la vente de 100 de ses tableaux, au profit du laboratoire de recherche sur la Fibrose pulmonaire idiopathique (FPI), il souhaite aider, aimer et donner.
Soutenu par son épouse, entouré de nombreux amis, il mène ce projet comme l’entrepreneur qu’il a été, préférant une ouverture sur le monde à un repli sur soi, pour que cette maladie puisse être un jour vaincue.